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 Jorge ▬ Lost in wonderland.

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Jorge L. Romero-Mendoza
Jorge L. Romero-Mendoza


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MessageSujet: Jorge ▬ Lost in wonderland.   Jorge ▬ Lost in wonderland. EmptyLun 10 Juin - 15:53



Jorge Luis Romero Mendoza




IDENTITY CARD
Je me présente Jorge Luis Romero-Mendoza et j'ai maintenant 32 ans. Je suis né(e) le 11 Décembre 1980. Je travaille comme étant détective privé. Je suis un(e) voyant. Je suis présentement divorcé, peut-être même veuf qui sait?, et je suis hétérosexuel. désoler les gars. On me confond souvent avec Edgar Ramirez.

I'M SELFISH
Qui suis-je? Voilà une bonne question et j’aurais beau dire en avoir la réponse ce serait assurément faux. Déjà, car il me serait impossible d’être parfaitement objectif dans ma réponse. Ensuite, parce que tellement de paramètre peuvent jouer là-dessus que même en disant que je suis disons généreux, dans une situation ou avec une personne donner je peux montrer le contraire en tout point. Finalement, parce que chaque événement de ma vie a un effet direct sur mon caractère et que l’homme que j’étais hier n’est pas l’homme que je suis aujourd’hui. Dur de suivre le fil dans ces conditions. Néanmoins je vais tenter le coup et essayer de vous dire qui est Jorge Luis Romero Mendoza. Je commencerais en vous disant que je suis une bien piètre personne et ce n’est pas une blague, je suis totalement sincère je me considère moi-même comme une merde et mes qualités ne compensent pas mes défauts à mon avis, et beaucoup de gens dont mon ex-femme ont exprimé leur dégoût à mon égard. Mon ex-femme m’a même assuré que jamais je ne trouverai quelqu’un capable de m’aimer, elles finiront tous par voir qui je suis vraiment et partir en courant selon elle. Bref, on s’en fou, mais elle a sans doute raison faudrait beaucoup de détermination pour apprendre à m’aimer. Les gens qui me connaissent peu me voit comme quelqu’un de bien, j’ai fier allure, je m’exprime plutôt bien, mais c’est quand on commence à avoir une relation intime que les gens réalise que les apparences sont parfois trompeuses et pas dans le genre je suis un « bad boy», mais au fond je suis un vrai bisounours en manque d’affection. Non je suis plus du genre à avoir l’air d’un bon gars moi, mais dans les faits je ne le suis pas. Sinon que dire… je suis violent, sans aucun doute que le milieu dans lequel j’ai grandis à jouer là-dessus, mais ça n’excuse rien. J’ai même battu mon ex-femme une ou deux fois, ça fait partie des raisons de notre divorce, bien qu’en fait ce n’est pas mon mauvais caractère qui en est la cause. Je me crois tout permis, si faire quelque chose de mal ou moralement inacceptable sert mes intérêts je passerai outre ses barrières que me fixe la société, avec ça vient bien évidemment un certain égocentrisme. On vous a dit que la terre tourne autour du soleil? Ridicule la terre tourne autour de moi. Je suis rancunier aussi, faite moi du mal et je vous garantis que la prochaine fois que vous vous attirerez mes foudres vous ramperez aussitôt au sol pour avoir mon pardon. J’exagère, mais à peine. Je ne supporte pas les ordres, c’est en partie pour ça que je n’ai pas repris mon ancien boulot quand j’en ai eu l’occasion. J’ai tendance à ne voir que le mal chez les autres, c’est mon métier qui fait ça. Je ne sais pas pour vous, mais moi je sais que voir des ordures à longueur de journée dans le cadre de mon boulot me fait voir des ordures partout même une fois à l’extérieur. Dès que je vois quelqu’un mon cerveau essaie de trouver quel type de criminel ou d’ordure pourrait être cette personne. Cyber criminel? Braqueur de banque? Dealeur de drogue? Tueur? Violeur? Je le pense sans même m’en rendre réellement compte. En fait, je le sais, mais je ne le fais pas volontairement. Ça arrive et c’est tout. Je suis distant, secret, je ne laisse pas facilement les gens avoir accès à mon passé ou mes ressentiments. Je garde le tout enfouis en moi. Ça ne m’a jamais aidé, en amitié comme en amour. Mais je suis comme ça, il faut beaucoup pour que je me sente prêt à m’ouvrir aux autres. Demander le à ma femme, tout ce qu’elle sait de moi et mon passé c’est que je suis le seul de ma famille encore en vie et ça elle le sait seulement parce que je devais bien lui expliquer que voir ma famille était impossible en dehors de mon petit-frère. Mais je ne lui ai jamais dit que lui était encore en vie. Bref, assez dit de choses "négatives" à mon sujet passons au positif. Je suis quelqu’un de serviable, je ne suis pas un ancien flic recyclé en détective privé pour rien. Il est vrai que j’ai tendance à faire des choses pour mon propre profit, mais croyez-moi un flic honnête au Venezuela ça ne roule pas sur l’or même si leur vie est menacée plusieurs fois chaque jour en aidant des personnes ou simplement en étant victime d’une tentative de meurtre par un cartel ou autre criminel. Je ne l’ai donc pas fait pour mon profit, je l’ai fait, car je voulais laver le nom de mon père et rendre mon secteur plus sûr pour tout le monde. C’est encore le cas aujourd’hui, mes méthodes sont peut-être parfois extrêmes, mais ma feuille de route est bien garnie et les rues sont définitivement plus sûres et moins bourrées de drogue quand je suis dans le coin. Je suis drôle, j’ai peut-être un humour parfois spécial et plutôt bête, mais ça ne le rends pas moins drôle. Je détends l’atmosphère et fait rire les gens c’est ce que j’attends de l’humour alors je crois vraiment être drôle. Je suis déterminé, quand je me fixe un objectif je fais tout pour y arriver sans réelles exceptions. Dans le même ordre d’idée, je suis un bourreau de travail. Je me donne toujours à fond pour boucler mes affaires, rester en forme et m’améliorer dans toutes les facettes de mon métier. Je n’aime pas le travail mal fait et je me suis toujours juré de faire mon travail de la bonne façon alors pas de demi-mesure. Je suis passionné, j’aime ce que je fais, que ce soit mon travail, mes loisirs ou mes relations intimes je suis quelqu’un de vraiment intense. Je ne suis pas le prince charmant tout beau, tout gentil, mais la seule femme que j’ai aimé m’a dit même une fois divorcée qu’elle ne s’était jamais sentie autant aimer que pendant les cinq années que vous avons vécu ensemble, même par sa mère elle ne s’était pas sentie autant aimer. Je dirais aussi que je suis franc, je ne suis pas du tout du genre à mentir sur moi ou sur quoi que ce soit d’autres. Je n’en vois même pas l’intérêt pour être honnête, je suis bien placé pour le savoir, tout fini par être découvert… même les mensonges les plus crédibles et bien ficelés. Je n’aurais clos aucune affaire sinon. Finalement, je dirais que je suis quelqu’un d’instruit. Je n’ai peut-être pas été à l’école jusqu’au doctorat, mais j’ai toujours été du genre curieux, qui s’intéresse à tout et qui suit ce qui se passe autour de lui dans les actualités comme dans des domaines plus précis. J’aime en apprendre toujours plus, je suis comme ça. Je m’arrête ici même si je suis bien plus que ce que j’ai pu vous dire dans cette courte description.

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Jorge L. Romero-Mendoza
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MessageSujet: Re: Jorge ▬ Lost in wonderland.   Jorge ▬ Lost in wonderland. EmptyLun 10 Juin - 15:55



once upon a time...



citation
Je vais vous raconter mon histoire à partir de divers événement qui ont façonné l’homme que je suis aujourd’hui. Ne vous attendez donc pas à une biographie complète, croyez-moi la manière dont je suis né et tous les détails de ma vie ne valent vraiment pas la peine d’être raconté. Bref, place à mon histoire.

De père en fils.
12 Décembre 1986


J’avais 6 ans à l’époque, je me rappelle encore comment je marchais innocemment dans la rue pour aller rejoindre mon père qui était policier lorsqu’il fut abattu d’une balle soigneusement placé dans le crâne. Un meurtre sans finesse et qui ne prit qu’un instant, qu’une pression sur une gâchette. Je me rappelle que son crâne avait littéralement explosé et que en allant voir mon père j’avais pu voir des morceaux de sa cervelle. J’avais vomit sur lui. Une expérience assez désagréable qui s’ajoutait à la mort de mon père. Bien qu’à l’époque, j’étais loin de croire qu’il était mort je me disais qu’il allait se réveiller et que tout irait bien, ou du moins j’essayais de m’en convaincre. C’était sans succès si tel est le cas. Quoi qu’il en soit la mort de mon père dans ses fonctions me marque à jamais, il était mon héros, mon modèle, je le voyais comme le meilleur des pères. Il avait d’ailleurs, la veille, arrêté des membres d’un groupe criminel local alors qu’ils avaient coupé la tête d’une fillette sur la place publique. Je ne m’en rendais pas encore compte très bien à l’époque, mais aujourd’hui je le sais qu’il est mort parce qu’autrefois c’était un flic corrompu et que pour une fois il avait plutôt décidé de faire la bonne chose. Cela aura coûté la vie d’un policier, d’un mari, d’un père de famille. Mais peut-être le méritait-il pour tout le mal qu’il avait lui-même commit, il avait commis des meurtres pour le même groupe qui avait tué cette fillette devant ses yeux et au fond la seule raison pour laquelle il n’avait vraisemblablement pas pu regarder ça sans rien dire c’était que cette fille avait mon âge, que ça aurait pu être moi le gosse qui se faisait tué. Quoi qu’il en soit, c’est ce jour-là que j’ai décidé que je ferai du métier de flic une tradition familial en reprenant le flambeau de mon père. Je vous l’ai dit je n’ai su que bien plus tard qu’en réalité mon père était un flic tout ce qu’il y a de plus honteux, mais moi je comptais être un flic tout ce qui a de plus honnête. Quelqu’un qui allait appliquer la loi à tous sans égard pour leurs employeurs et l’argent que certains pourraient tenter de m’offrir. En fait, je voulais être comme mon père ce fameux jour. J’oubliais tous les autres il n’y avait que ce jour-là qui comptait. Bref, c’est ce 12 Décembre 1986 que je me suis fixé un objectif clair et net. J’étais jeune, mais j’avais un rêve et je comptais tout faire pour le réaliser, rendre mon père fier de moi et aider les habitants de Caracas au Venezuela, ou du moins ceux du secteur où je travaillerais.


Partenaire un jour, partenaire toujours.
3 Mars 2001


L’école de police était derrière moi, j’avais été assigné au secteur où j’étais nez et je devais ce matin-même rencontrer mon partenaire. J’étais plutôt anxieux, je me demandais qui il serait, mais surtout s’il serait honnête. Il y avait aussi une question d’âge, je supposais qu’ils allaient me jumeler à un plus vieux pour que j’apprenne le métier plus rapidement, mais il ne m’avait rien dit sur mon futur partenaire. J’étais assis devant mon supérieur, je tapotais son bureau à un rythme très régulier avec mes doigts pour faire passer le temps plus vite. J’entendis la porte s’ouvrir alors que je finissais de bailler, je me tournais et avant que je n’aie le temps de dire quelque chose mon supérieur fit signe de tête que ce n’était pas mon partenaire. Il me fallut attendre près de 30 minutes avant que mon partenaire arrive et ce fut loin d’être ce à quoi je m’étais entendu, il était noir comme le charbon, mais je pouvais voir qu’il était encore plus jeune que moi. Il semblait complètement perdu, déboussolé, c’est comme s’il n’avait jamais été dans un tel endroit. Je ne savais pas où il avait été formé, mais il ne paraissait vraiment pas préparer à ce qui lui arrivait aujourd’hui. Je me voyais déjà être aux prises avec un boulet. Quoi qu’il en soit, ce n’était pas de mon ressort et j’allais devoir faire avec. Nous nous sommes présentés et ensuite on est parti faire notre première ronde ensemble. Il était bizarre, il semblait avoir peur de quelque chose alors je lui ai directement demandé ce qui se passait pour qu’il soit aussi nerveux. Il ne répondit pas. Je lui redemandais et cette fois il m’avoua avoir reçu des menaces de mort après avoir fini l’école de police, car son père était responsable de a chute d’un baron de la drogue et comme il était mort dans le processus c’est sur lui que les intéressés comptaient exercer leur vengeance. Cela me ravit dans un sens, car je me disais qu’il serait surement honnête dans ces circonstances… être corrompus ne l’aiderait pas. Mais d’un autre côté j’étais bien évidemment inquiet pour lui, je ne lui souhaitais pas de mourir et je savais que par chez nous les menaces n’étaient pas lancé en l’air. De plus, le tueur pourrait être n’importe qui... un collègue, notre supérieur, un criminel notoire, presque tout le monde vendait son âme à ses organisations criminelles alors le tueur pouvait aussi bien être un allié en apparence qu’une crapule connue de tous. Néanmoins, après ce jour il avait mon entière confiance et je me jurais que je ne laisserais jamais personne le tuer. C’était mon coéquipier et je serais toujours là pour lui couvrir ses arrières comme s’il s’agirait de mon sang, de mon frère. Oui, le mot est juste, depuis ce jour je le considérais comme un frère d’armes et ami. Heureusement pour moi je n’eus pas à me raviser chaque jour où j’apprenais à mieux le connaître je l’appréciais plus.


Échec… déception… trahison.
28 Juin 2002


J’arborais la couleur noire comme il était coutume lors des funérailles, j’étais loin de la foule de personnes présentes pour pleurer le défunt. J’assistais à la scène tel un observateur, je ne voulais pas me mêler aux autres, mais surtout j’éprouvais une honte si grande c’était à peine vivable. J’avais échoué, j’avais dit que jamais je ne laisserais quoi que ce soit lui arriver. Je me décevais moi-même, j’aurais dû voir ça venir. J’aurais dû savoir que ses ennemis auraient pu tenter une telle chose. Mais non comme une andouille je n’avais pas pensé à cette possibilité. Jamais je n’aurais cru qu’ils me forceraient à tuer mon coéquipier moi-même en utilisant mon petit frère comme moyen de pression. Il l’avait récemment prit avec eux, comme « passeur » de drogues. Hop avale un cachet mon petit gars et va-t’en là-bas avec. SI tu es chanceux il ne se rompra pas dans ton estomac pour causer une overdose mortelle. Ils avaient touché un point sensible et malgré tout mon amour pour mon partenaire que je croyais considérer comme un frère j’ai été ce tueur contre lequel je m’étais préparé à le défendre coûte que coûte. Le seul que je n’aurais pas pu arrêter. J’avais sauvé mon petit frère d’une emprise néfaste et probablement mortelle, mais elle m’avait coûté mon grand-frère et jamais je ne me pardonnerais pour ça. J’aurais dû trouver une façon de sauver les deux. Mais ceux qui ont fait ça, un jour je les retrouverais et les tuerais jusqu’au dernier… pour mon père, pour mon partenaire, pour mon petit frère et pour moi. Mais pour le moment je devais pleurer mon frère perdu… je commençais à m’avancer vers le groupe autour du cercueil alors que des valses de tirs était lancé puis je posais la main sur le cercueil avant de lâcher à l’intention de mon défunt vrai « je suis désoler, je n’ai pas su te protéger comme j’avais promis de le faire… mais je te promets que tes vrais tueurs viendront te retrouver bien assez tôt. » J’espérais simplement qu’il comprenne comment j’avais pu en arriver au point où je l’avais moi-même tué, j’espérais simplement qu’où qu’il soit il sache à quel point ça m’avait fait mal d’en arriver là et qu’il comprenne que… qu’il comprenne voilà tout en fait. J’avais tellement peur qu’il m’en veuille, qu’il me blâme pour sa mort, qu’il me blâme pour tout. Il avait été mon meilleur ami pendant l’année que nous nous sommes connu et si je n’avais pas son pardon je ne savais pas ce que je ferais. Mais je sentais que je l’avais ce pardon, qu’il comprenait comment j’avais pu agir de la sorte et qu’il était d’accord avec mon choix. Sa mort était inévitable, mais au moins d’une certaine façon elle aura sauvé mon petit frère.


Sacrifice
5 Janvier 2005


Plusieurs années s’étaient écouler depuis la mort de mon ancien coéquipier était mort assassiné, assassiné par moi. Je n’étais plus le même depuis, je me soulais la gueule tous les soirs, je me mettais à abuser de mon pouvoir de policier et à être violent. J’étais vraiment très irritable et même si je savais pertinemment tout ça je n’arrivais pas à m’arrêter et à me contrôler. Ça c’était améliorer dernièrement, ma petite sœur était venu habiter chez moi et elle savait comment me parler, m’apaiser, me calmer. Bref, elle arrivait à me mettre en paix avec moi-même. J’avais eu plusieurs promotions depuis la mort de mon ami, j’étais aujourd’hui un haut gradé des forces de police et non plus un simple patrouilleur. Néanmoins, le cartel de drogue qui contrôlait la région ne me lâchait toujours pas les basques, car je continuais de faire coffrer leurs hommes les uns après les autres, ils étaient toujours à me lancer des menaces ceux-là et c’était ce fameux 5 Janvier en rentrant le boulot qu’ils cessèrent de me proférer des menaces et optèrent plutôt pour me montrer ce qu’ils seraient capable de faire. C’était vraiment une journée comme les autres au boulot, je venais de terminer une rencontre avec le chef de la police et je rentrais chez moi comme si de rien était, la maison était plongé dans l’obscurité bien que normalement ma sœur devait m’attendre alors j’ai allumé la lumière et je me suis mis à l’appeler en criant son nom. Elle ne me répondait pas alors je passais une à une par toutes les pièces sans la trouver. Il ne restait plus qu’à aller voir au sous-sol pour confirmer qu’elle était bel et bien absente. Je me demandais qu’elle empêchement elle avait vu. Quoi qu’il en soit je descendis pour être sûr, mais plutôt que de trouver ma sœur ou un sous-sol vide, je trouvais 10 cadavres encore frais. Il n’y avait aucun signe de décomposition, ils avaient tous été tué dans la journée ça ne faisait aucun doute alors je pouvais encore parfaitement les reconnaître… ma mère, mes trois petites sœurs, mes deux grands frères, mon oncle maternel et mes trois nièces. Je pouvais voir des signes de tortures sur leurs corps, je ne comprenais pas ce qui les motivaient. Pourquoi tenaient-ils autant à me garder en laisse? Ils devaient bien y avoir un truc important pour qu’ils aillent aussi loin pour un seul individu comme moi, car ces morts ne leur apporteront pas le moindre profit et ne fait pas mal à leurs rivaux. De plus, je me demandais vraiment pourquoi ils avaient épargné mon petit frère. C’était le seul membre de ma famille proche qui n’était pas parmi les cadavres sous mes yeux. Mais je n’avais pas envie de réfléchir, j’étais simplement sorti en appelant le centre pour demander des ambulances et du renfort des fois qu’il y avait encore de ces enfoirés dans le coin. Mais pour ma part, j’étais parti dans ma chambre et j’y avais pleuré. Je n’étais habituellement pas du tout l’homme extériorisant le plus ses émotions, mais là s’en était trop. Ça dépassait mes limites. J’étais ressorti de la chambre quelques heures plus tard avec la ferme intention de trouver ce que ces types me voulaient et les emmerder le plus possible avec ça. Mais une chose était clair, je devais avoir fouiné quelque part où il ne voulait pas que je mette mon nez. Quelque chose de gros, quelque chose d’assez gros pour ils craignent que je le découvre. Mon dévouement envers les citoyens dans le cadre de mon travail m’avait coûté ma famille et j’allais tout faire pour que leur « sacrifice » ne soit pas vain. Ils m’avaient déjà tenu par les couilles quand ils m’ont forcé à tuer mon coéquipier, alors c’était à mon tour de le faire. Mais je savais qu’ici ce serait chose impossible, ce pays est rempli de personnes corrompues dans les plus hautes sphères du pouvoir, j’ai donc remit ma décision et je j’ai pris un vol pour les États-Unis le soir-même avec mon petit frère. New York pour être plus précis, c’était le vol le plus près de partir et je n’avais aucune idée d’où je voulais aller précisément pour le moment de toute façon.


L’amour à Central Park
1er Août 2006

Je finissais d’ajuster le costume fait sur mesure que je m’étais offert pour mon mariage lorsque mon petit frère, qui était maintenant âgé de 16 ans, vint me voir pour me dire que j’avais moins de cinq minutes devant moi. Le saut était pour bientôt, mais j’étais parfaitement sûr de mon choix quand j’ai demandé la main de celle qui deviendra ma femme. Je l’avais rencontré à Central Park en faisant mon jogging quotidien avant d’aller travailler comme gardien de sécurité dans un lycée international et je sais que vous allez trouver ça con, mais j’ai eu le coup de foudre. Je ne saurais pas dire pourquoi… ma future femme est loin d’être la plus belle et la plus séduisante aux premiers abords, même qu’elle m’aurait sans doute intimidé, car elle n’est vraiment pas facile au premier contact comme j’ai pu le constater. Un vrai garçon manqué à première vue, mais elle a sa féminité comme toutes les autres. Bref, tout ça pour dire que je l’aimais dès que j’avais fait sa rencontre et mon amour pour elle n’avait fait que grandir depuis. Chaque fois que je découvrais plus de choses sur elle je l’aimais un peu plus et elle partageait tout avec moi. Tous ses petits secrets, ses peurs, etc. J’aimais ça qu’elle s’ouvre autant à moi, je ne pouvais pas dire autant de moi. Je ne suis pas quelqu’un qui s’ouvre aux autres même si je les aime et que je sais que je devrais sans doute le faire. Que puis-je dire? Mon passé est comme une énorme blessure qui n’a jamais cicatrisée. Quoi qu’il en soit j’étais amoureux, ma vie allait plutôt bien et je me préparais à épouser celle que je croyais être la femme de ma vie. Les cinq minutes s’écoulèrent en moins de deux et serrant une dernière fois ma cravate je fis mon entrée au mariage fin prêt à assurer mon avenir avec celle que mon cœur avait choisi. Et ne dites rien à personne, mais la carte verte qui venait avec faisait bien mon affaire aussi.


Quand les choses vont mal, on se tue au travail !
15 Mars 2011


J’étais fou de rage, je fusillais la cible cartonnée du regard et avec mon fusil à la fois, l’effet était dévastateur. Je continuais avec la suivante, je criblais de balles les 5 cibles qui étaient les unes à côté des autres. Un de mes amis qui travaillaient avec moi vint m’arrêter et essayer de me calmer. Mais rien n’y faisait. Je voulais continuer à m’entraîner et aller montrer mon améliorant aux gros méchants qui courent dans les rues. Ça faisait maintenant environ trois ans que je travaillais pour la Drug Enforcement Administration (DEA). J’avais appliqué là-bas dès que j’avais réussi à obtenir ma nationalité américaine. Normalement ça m’aurait pris cinq ans, mais comme j’étais marié il ne me fallait que trois ans comme résidant permanent pour entreprendre les démarches. J’en suis à ma sixième année donc faite le calcul. Bref, je vous disais ça pour que vous compreniez pourquoi je voulais montrer ce que je savais faire aux gros méchants. Mais quelle était la raison de ma colère? Ma femme avait officiellement entrepris les démarches de divorce il y a un mois, enfin, elle m’avait envoyé des papiers à signer via son avocat et je venais de me décider à les signer ces papiers donc ce cauchemar devenait réel. Ça faisait déjà deux mois qu’elle avait quitté la maison, mais j’étais resté persuadé que les choses s’arrangeraient et je m’étais acheter du temps en refusant de signer les papiers. Mais au fond, elles n’avaient fait que continuer leur descente aux enfers alors maintenant je ne luttais plus contre ça. Si elle ne m’aimait plus il allait falloir que je m’y fasse. Mais depuis deux mois j’étais constamment sur les nerfs et je me donnais encore plus à fond que d’habitude au boulot. Je préférais me tuer à la tâche que me lamenter tout seul dans le trou qui me sert de chez moi. Les résultats étaient là, j’avais clos 4 affaires en 1 mois et ma 5e était plutôt bien parti pour être résolu. C’était une question de jours à mon avis. Mais mes amis qui travaillaient avec moi et mon patron ne se réjouissait même pas des résultats, ils préféraient s’inquiéter pour moi et me dire que je devrais calmer mes ardeurs et rentre chez moi. Mais je ne voulais rien savoir de tout ça, j’étais rempli de rage que je refoulais, il fallait la déverser sur des personnes avant que j’explose et me fasse des ennemis par milliers. Malheureusement mon boulot m’a encore une fois coûté quelque chose… cette fois ce n’était rien de moins que ma mobilité. En effet, lors d’une affaire j’avais été tiré et la malchance a voulu que cette balle me rende invalide. Je me suis recyclé comme détective privé, enquêter était mon seul talent et si mon handicap m’empêchait d’être flic ou agent de la DEA, il ne m’empêchait pas d’aider des gens pour découvrir une infidélité ou retrouver une personne. Je voulais repartir ma vie a zéro donc j’avais décidé de partir vivre ailleurs pour fonder mon agence dans un lieu qui j’espérais ne me ferait pas souffrir comme les précédents.

Aujourd’hui, je suis à Tiercelieue, j’ai fonde mon agence comme prévu il y a maintenant deux ans. J’ai réussi à retrouver ma mobilité avec des exercices chez mon docteur. Vous ne pouvez pas savoir comme je suis soulagé, c’était très difficile pour moi d’être invalide. Mon ancien patron avec qui j’avais gardé contact m’avait proposé de me rendre mon emploi, mais j’ai refusé son offre, car j’étais tombé amoureux de mon nouvel emploi. Il me donnait plus de liberté et était moins… clicher que je ne l’aurais cru. J’avais régulièrement des affaires qui me menaient à collaborer avec les forces de l’ordre. Bref, tout va pour le mieux dans ma vie pour une fois et j’espère sincèrement que le vent ne tournera pas cette fois. Juste pour être sur je me tiens loin des affaires de drogue et j’évite de tisser des liens avec des femmes séduisantes qui me briseront le coeur. Je trouve que j’ai bien assez souffert jusqu’ici dans ma vie.


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Dernière édition par Jorge L. Romero-Mendoza le Lun 10 Juin - 16:07, édité 2 fois
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Alliyah L. Hudson
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MessageSujet: Re: Jorge ▬ Lost in wonderland.   Jorge ▬ Lost in wonderland. EmptyLun 10 Juin - 16:00

    Bienvenue parmi nous ♥
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Lila E. Wate
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MessageSujet: Re: Jorge ▬ Lost in wonderland.   Jorge ▬ Lost in wonderland. EmptyLun 10 Juin - 16:29



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