Je suis le garçon le plus populaire de l’école, je peux coucher avec toute les filles que je veux, en fait, je sors avec plusieurs femmes en même temps. Je ne respecte pas les femmes, elle représente des objets avec laquelle je couche, une sorte d’esclave avec des atouts beaucoup plus intéressant. J’ai vécu toute ma vie à Tircelieu, j’adore ma vie là-bas parce qu’elle représente toute les réussites que j’ai obtenu depuis que je vie. Enfin je l’adorais avant que ce stupide ange vienne me tourner l’esprit, qu’il joue avec ma façon de penser et mes nerfs. Maintenant que je suis devenu un cupidon, je ne peux plus coucher avec n’importe qui, mon esprit s’embrouille et je n’ai plus le contrôle. Je ne peux plus vivre comme avant, je dois tomber amoureux si je ne veux pas faire honte au reste de ma communauté, je suis maudit.

Toute ma vie j’ai vécu avec un couple culte représentant l’amour… Mes parents étaient un peu comme les Roméo et Juliette des temps moderne, une sorte d’amour parfait. Mes parents vivent ensemble depuis leurs 16 ans, ils s’aiment et ne se sont jamais posé la question à savoir pourquoi leur amour existe, ils ont toujours pensée que sa venait comme sa quand l’amour était présent. Nous sommes trois dans la famille, mon frère a rencontré la fille de sa vie dans une rue, il l’a abordé et tout à fonctionné depuis ce jour. Ma sœur elle, à son copain depuis toujours, elle aime me faire croire qu’il ce sont rencontré à la maternelle mais je ne suis pas complètement bête. Il n’y a que moi qui n’ai pas encore fait l’expérience du grand amour… Je suis le mouton noir de la famille, le blessé affectif qui ne trouvera jamais l’amour. Ma mère ne m’avait jamais expliqué la vraie raison de son amour éternel avec mon père, en fait, elle était une créature magique qui avait en quelque sorte forcé mon père, mon frère et ma sœur à tomber amoureux. Elle me donnait son don pour que je puisse user du même bonheur qu’elle, elle me demanda d’être prudent et de ne pas alerter toute la population sur mon don puis elle stoppa tout contact avec le sujet. Je ne veux pas forcer la femme de ma vie à m’aimer, je veux avoir ma liberté mais ça personne ne le comprend.

Fêter ses 18 ans c’est comme fêter la mort de notre ancienne vie, comme dire adieu au reste de notre vie, la partit la plus passionnante pour dire bonjour au mensonge et à la vie de dure. Ma mère est morte d’un cancer quand j’avais 18 ans, plus précisément le jour de ma fête, autant dire que mon anniversaire est un enterrement. Mon père est mort de chagrin, façon romantique de dire qu’il s’est enlevé la vie. Dans un an de vie j’ai vécu plus que quiconque dans tout une vie… Je hais le déprimé, suicidaire que je suis devenu. Je n’avais plus confiance en personne, je ne croyais plus en l’amour entre deux êtres humains, je ne pensais même plus pouvoir avoir une relation amical avec une personne. La nuit de mes 20 ans était encore plus pénible, j’étais dans ma chambre et je pensais à tout ce qui s’était passé lors de cette journée il y avait deux ans. C’est sur un coup de tête que j’ai décidé de prendre un couteau, de m’ouvrir une veine et de tomber comme l’avait fait mon père. C’est alors que j’étais dans mon rêve, que je voyais la petite lumière blanche et le tunnel que je rencontrai un ange… Il me raconta toutes les sottises qu’il connaissait sur l’amour et tout puis il me dit que j’allais vivre, que j’allais transmettre l’amour autour de moi et que j’allais être heureux. Je n’ai pas encore trouvé le bonheur et parfois je me dis que les ange sont tous des trou de cul qui parlent pour pouvoir baiser dieu.

Je suis la petite fille de deux mères, je n’ai jamais eu de figure masculine, en fait, je n’ai jamais vraiment rencontré de vrai homme depuis que je suis ici. J’ai déménagé il y a deux ans, mes deux mères n’étaient pas très en accord avec l’éducation dans une école publique. J’ai donc passé le plus clair de mon temps dans ma maison avec elle…. Comme tout conte de fée, la princesse finit toujours par s’échapper de sa prison dorée. J’ai quitté mes deux mères pour me rendre dans une école publique, j’ai fugué la maison pendant une journée. Cette journée là je suis tombé amoureuse d’un garçon ténébreux, un homme tellement beau, tellement gentil que la peur me piqua le ventre et me força à rentrer. Depuis ce jour je reste chez moi, j’ai peur d’aimer de nouveau, d’être encore une fois prisonnière d’une autre prison dorée.

Je suis tombée amoureuse d’un cupidon lorsque j’avais 21 ans… Étant moi-même une vaillante servante de l’amour je pensais que rien ne pouvait m’arriver de mieux. Je croyais au conte de fée, je pensais sincèrement que le miens allait finir par suivre celui de Cendrillon ou celui de Blanche neige, j’étais persuadé être la prochaine princesse de Walt Disney. J’ai passée trois années de ma vie à l’aimer comme une folle, à croire tout ce qu’il me disait, je lui faisais confiance comme je n’avais jamais encore fait confiance à personne. Cet homme était tout pour moi, une sorte de barrière à laquelle me tenir… Ma barrière s’effondra lorsqu’il m’avoua être atteint d’un cancer et qu’il allait mourir prochainement. Il est mort un mois après me l’avoir avoué… Perdre l’amour de sa vie revient au même que de dire que notre vie ne sert plus à rien, un peu excessif mais tellement vrai! Je n’ai plus confiance en l’amour, je n’ai plus envie de faire souffrir les gens en les faisant tomber amoureux… L’amour n’est qu’une souffrance continue qui poignarde le cœur des amants maudit.

Je suis la femme la plus heureuse de la terre, je vie mon parfais bonheur. Fiancé à un homme merveilleux, préparatif de mariage prévu pour dans un mois… Comment ne pas être heureuse? Le jour approchait, en fait, nous étions déjà au jour J. J'avais enfilé ma robe et j'embarquais dans la limousine pour me rendre à l'hôtel ou m’attendais mon père. Je débarquais de mon carrosse de princesse et je voyais mon fiancé au loin, vêtu de son habit noir et blanc, beau comme un cœur. J'étais devant l'hôtel, je venais tout juste de marcher dans ma grande et belle robe blanche, tous les regards étaient tourné vers moi, je disais les mots que toute jeune femme rêve de prononcer : je le veux! J'attendais les siens avec impatience me disant que bientôt ce belle homme devant moi serait également à moi comme moi j’étais à lui. C’est mots ne vinrent jamais, au contraire, il prononça les mots qu’une marié digne de ce nom ne voulais jamais entendre. Il me quittait pour ma meilleure amie… Comment pouvait-il me dire ça devant tout le monde? Pourquoi ne m’aimait-il pas comme moi je l’aimais? Pourquoi ne voulait-il pas de moi comme épouse? Tant de question pour quelque mots en digne de réponse. J’étais anéantie et je quittais l'église morte de chagrin. La vie n'avait plus de sens, j'avais perdu mon conte de fée, il m’avait glissé entre les doigts, j'allais finir vieille fille avec pour seul compagnie de magnifique chat que j’adorerais comme étant mes propres enfants. Je pleurais dans ma chambre affaiblit de ma robe de marié quand un ange arriva, il me dicta que si je ne commençais pas à croire en l'amour maintenant j'allais devenir un cupidon, il me toucha puis il disparut. Maintenant je n’ai pas retrouvé confiance en l’amour pourtant je dois l’offrir au gens que je juge comme étant apte à tomber amoureux.