Il était une fois, un prince et une princesse destiné à vivre ensemble et à tomber amoureux l'un de l'autre et qui malheureusement n'avait pas encore eu la chance de ce croiser. L'un et l'autre erraient en ce soir de pleine lune à imaginer l'amour de leur vie, sans réussir à lui mettre un visage et sans imaginer que je pouvais être tout pr_s d'eux a essayer de les retrouver pour les réunir enfin. Depuis maintenant un certain temps, j'avais appris à gérer mon don, à m'en servir, même si je n'en avait jamais vraiment voulu, je devais faire avec, tel une femme maudite à voir de l'amour tout autour d'elle comme punition pour avoir cesser d'y croire. Heureusement j'étais plus maline que l'on voulait bien me laisser le paraitre et j'avais monter mon petit business, une affaire florissante. Bizarrement lorsqu'on lié deux personnes ensemble, ils avaient envies de nous remercier et quoi de mieux que de leur parler de mon agence pour y êtes gagnante.

Cela faisait donc maintenant quelques heures que je me baladais dans les rue de Tircelieu à chercher après des petit couple d'amoureux, sans grand succès. C'était un soir de pleine lune pas très attrayant et ma volonté d'avoir ne serait-ce qu'un petit espoir était si fort que j'en avais presque oublié le couvre-feu. Ma montre au poignet, j'examinais soigneusement l'heure qui y était affiché et durant quelque seconde, je calculais le temps qu'il me faudrait pour atteindre mon domicile avant que le couvre feu ne soit déclarer. La seule solution pour réussir à atteindre mon logement à temps était de passé à travers la fôret , risqué peut-être mais beaucoup moins que de tomber sur un flic.

Je n'étais pas vraiment habillé pour une course en forêt, mais avais-je vraiment le choix ? Encore heureux que je n'ai pas mis une paire d'escarpin, je me félicitais d'avoir choisi la précaution avec les petite ballerines noirs que je venais d'acheter. Je galopais donc dans la forêt espérant ne pas me perdre en chemin, quand je sentis un lien ce resserrer contre mon pied et me soulever dans les airs. Évidemment, mon cris perçant se mis à résonner à travers les bois. Au secouuuuuuuuurs !!!! Aidez-moiiiiiiii !! Je suis coincé ! A l'aide ! Y'a quelqu'un ? Au secouuuuuurs.... Du haut de ma corde, je commençais à desespérer ! Pour une fille qui voulait se la jouer discrète c'étais rater !